Le chant de l’évidence primordiale

Dans cet article, Mareva nous emmène explorer un iceberg, majestueux au dessus comme au-dessous de l’eau et de la même nature que l’océan.

Dans cet article, Paul nous propose d’envisager que notre devenir est visible à tout instant en regardant ce qui se joue dans nos consciences.

Dans « Voyages océaniques », Damien propose un conte qui est une métaphore du chemin selon la Grande Perfection.

Dans cet article, Denis nous emmène là où, même au cœur de l’obscurité silencieuse, la compassion universelle continue à se manifester.

Dans “Marée haute, marée basse”, Johanne parle des mouvements de l’esprit, en observant le cycle naturel de la marée.

Dans « Le chant des sirènes », Nils nous invite à être malin comme Ulysse pour ne pas succomber à l’appel des huit réalités mondaines.

Dans “Panique à bord”, la mer est présentée comme terrain de jeu pour l’expérience possible de la liberté naturelle de l’esprit.

Dans « La Mer Morte », Mila Khyentse nous rappelle que même la Mer Morte porte la vie. Pour le Dzogchèn, la mort est dans la vie.

Dans « La maladie », Maréva parle de l’inconfort de la maladie qui peut devenir source d’entraînement, de lien au maître et à la nature.

Dans « KO dehors, OK dedans ? », Damien nous parle de la manière dont les conditions externes chaotiques sont des occasions de libération.