Conférences

Souffles subtils et phénomènes mentaux. La vie.

Dans la tradition tibétaine de la Grande Perfection, la réalité de notre existence peut se décliner en trois aspects indissociables : une réalité tangible, une autre subtile et une dernière ultime. Si la réalité ultime est la base des deux autres aspects, la dimension subtile est la dynamique sous-jacente à la réalité tangible que nous expérimentons au quotidien.

Le chemin du Dzogchèn, une grande tradition asiatique vivante sœur du bouddhisme, nous incite à partir à la découverte de ces dimensions cachées habituellement à notre regard ordinaire et peut-être, qui sait, d’en maîtriser tous les aspects.

Pour cette tradition, maîtriser les souffles subtils ou vitaux – un principe très répandu en Asie – revient à maîtriser toutes les projections mentales et émotionnelles liées à la réalité de notre existence.

Des trois domaines d’application principaux, le rêve, la mort et la vie, nous nous pencherons lors de ces deux jours plus particulièrement sur la vie, notamment par des exercices de méditation très pratiques.

La sagesse au quotidien

En partenariat avec la Maison des Leaders du Québec

Nous avons souvent l’image que la sagesse se développe et s’applique dans des lieux privilégiés, voire dédiés, comme les monastères, les ermitages ou les écoles de philosophie. Il n’en est rien suivant le Dzogchèn, une grande tradition asiatique sœur du Bouddhisme transmise aujourd’hui par le monde tibétain. Pour la Grande Perfection, la sagesse, qui est la connaissance parfaite de soi-même et de la réalité, se vit et se développe dans notre quotidien, là où nous sommes, en fonction de ce que nous faisons. Pour cette tradition, il suffit d’avoir un esprit qui fonctionne, et notre vie peut devenir sagesse continuelle si nous appliquons les bonnes méthodes.
Durant ces deux jours, nous explorerons ensemble comment devenir plus authentique, plus vrai, en un mot plus sage, dans notre vie de tous les jours. Nous nous inspirerons de récits de vie tournés vers la découverte de la sagesse. Nous mettrons en application des exercices, faits pour notre quotidien, issus de la tradition Dzogchèn. Parce que le plus important dans la sagesse au quotidien, c’est de pouvoir la partager.

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Souffles subtils et phénomènes mentaux. Le rêve.

Dans la tradition tibétaine de la Grande Perfection, la réalité de notre existence peut se décliner en trois aspects indissociables : une réalité tangible, une autre subtile et une dernière ultime. Si la réalité ultime est la base des deux autres aspects, la dimension subtile est la dynamique sous-jacente à la réalité tangible que nous expérimentons au quotidien.

Le chemin du Dzogchèn, une grande tradition asiatique vivante sœur du bouddhisme, nous incite à partir à la découverte de ces dimensions cachées habituellement à notre regard ordinaire et peut-être, qui sait, d’en maîtriser tous les aspects.

Pour cette tradition, maîtriser les souffles subtils ou vitaux – un principe très répandu en Asie – revient à maîtriser toutes les projections mentales et émotionnelles liées à la réalité de notre existence.

Des trois domaines d’application principaux, la vie, la mort et le rêve, nous nous pencherons lors de ces deux jours plus particulièrement sur le rêve, notamment par des exercices de méditation très pratiques.

Nous tenterons d’en savoir également un peu plus sur le lien qui existe entre le mouvement de ces souffles subtils et le déploiement des formes du rêve.

Souffles subtils et phénomènes mentaux. La mort.

Dans la tradition tibétaine de la Grande Perfection, la réalité de notre existence peut se décliner en trois aspects indissociables : une réalité tangible, une autre subtile et une dernière ultime. Si la réalité ultime est la base des deux autres aspects, la dimension subtile est la dynamique sous-jacente à la réalité tangible que nous expérimentons au quotidien.

Le chemin du Dzogchèn, une grande tradition asiatique vivante sœur du bouddhisme, nous incite à partir à la découverte de ces dimensions cachées habituellement à notre regard ordinaire et peut-être, qui sait, d’en maîtriser tous les aspects.

Pour cette tradition, maîtriser les souffles subtils ou vitaux – un principe très répandu en Asie – revient à maîtriser toutes les projections mentales et émotionnelles liées à la réalité de notre existence.

Des trois domaines d’application principaux, la vie, le rêve et la mort, nous nous pencherons lors de ces deux jours plus particulièrement sur la mort, notamment par des exercices de méditation très pratiques.

Nous tenterons d’en savoir également un peu plus sur ce que cette tradition nous dit du moment de la mort et ce qui pourrait y advenir selon certains de ses enseignements. Nous verrons que la Grande Perfection insiste beaucoup sur le rôle des souffles subtils à ce moment si crucial, clôture de notre existence.